samedi 19 octobre 2013

Raf, 1er solo de violoncelle avec orchestre

 programme

 LOrchestre de Chambre de la Néthen et Karim Baggili proposent une musique qui jette des ponts entre les peuples et les cultures.
- Compositions originales de Karim Baggili (guitare et oud), mâtinées dinfluences arabo-andalouses, flamenca et latines, de musiques arabes et orientales.
- Rikudim (Quatre danses israéliennes  du compositeur belge Jan van der Roost) et Kol Nidrei (Chant liturgique juif pour violoncelle et orchestre du compositeur allemand Max Bruch, avec en soliste Raphaël Meulemans).
- Création de Avant lHiver, une composition dAlain Meulemans pour guitare et orchestre. Soliste : Karim Baggili.

 Benoît, Natascha, Raphaël, tous les 3 dans l'aventure!

Un public fervent!

Natascha donne un cours en Néerlandais

Natascha donne un cours en Néerlandais sur la dyslexie, dysphasie, ( cours de langue maternelle, néerlandais) au Lemmens Instituut à Leuven,; dans la classe de Raphaël. Un beau défi, magnifiquement relevé selon les échos.

vendredi 11 octobre 2013

Julie, Théâtre, collaboration artistique, à Nyon, Usine à Gaz

Les artistes de la contrefaçon, Mise en scène: Christian Geffroy Schlittler, à Nyon.
Avec la très active collaboration artistique de Julie
http://www.plateaux.ch/spectacle/les-artistes-de-la-contrefacon/
et http://www.louispinagot.ch/Louis_Pinagot/spectacles/Pathos/Pathos_page_photo01.html


Fin d'une longe aventure et d'une longue tournée.

En 2011, lors du travail, avec C.G. Schlittler.
Photos des répétitions

Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le théâtre de Rodrigo Garcia, Krystof Warlikowski, Romeo Castellucci, Aristote et les autres… Un groupe d’acteurs et d’actrices regardent (en vidéo) des scènes de spectacles célèbres. Et puis ils essayent de faire la même chose. Ils imitent et essayent de comprendre comment cela marche, comment jouer, danser pour arriver au même résultat: vaste question.
Ils tournent au-tour de cette idée vieille comme le théâtre, le pathos, l’émotion, comment cela fonctionne, cette mécanique subtile des larmes et de la rigolade, de l’identification.
Un spectacle-conférence tonique et souriant, savant mais non pas pédant, pour s’offrir un cours de rattrapage au galop sur les dernières pratiques scéniques, pour briller un peu en salon qui sait. Surtout, un moment de jeu qui non content de copier invente sa propre logique, initie presque un genre, ultramoderne mais qui puise aux sources de la dramaturgie, comme un remix décadré et joyeux. Rechercher, se rappeler, mimer, observer, inventer, c’est l’enfance de l’art. (Théâtre les halles)